Le successeur de la Route du Verre, par le même auteur !
Dans Black Forest, vous êtes à la tête d’un petit domaine de quelques arpents, où vous allez construire des bâtiments et élever du bétail.
Voyagez de village en village pour recruter des ouvriers, choisissez les bâtiments qui répondent à vos besoins, ouvrez de nouvelles parcelles, produisez du verre, et agrandissez votre domaine.
Vos deux cadrans de production vous aident à suivre l’état de vos stocks. La variété des bâtiments et de leurs effets ouvrent de nombreuses possibilités stratégiques pour atteindre la victoire.
Contenu :
Thème(s) | Economie, Nature, Médiéval | |
Langue(s) | Français | |
Mécanisme(s) | Tuiles, Ressources, Placement d'ouvriers | |
Création | Tido Lorenz, Uwe Rosenberg | |
Illustrations | Lukas Siegmon | |
Note globale | 4.7 | |
Pays de Provenance | Chine | |
Éditeur | Super Meeple | |
EAN | 3770023051828 |
Autres langues
Ce jeu est conseillé par 2 de nos Blogueurs
Ce jeu a été joué et recommandé par Gus & Co, voici son avis :
Black Forest, c’est comme une recette traditionnelle (genre, la… raclette ?) revisitée par un chef étoilé. Tito Lorenz a su apporter sa touche personnelle tout en respectant l’esprit de Glass Road, créant un plat qui satisfera autant les puristes que les aventuriers (du goût). L’univers du jeu devient un terrain de jeu de ouf où chaque décision compte plus qu’un vote serré.
Attention toutefois : ce n’est clairement pas un jeu pour les petits joueurs. En âge et en habitude de jeu. Avec ses 30+ bâtiments et ses options plus nombreuses que les arbres de la Forêt-Noire, la première partie peut donner le vertige. Mais une fois les bases maîtrisées, tout s’emboîte comme une horloge allemande (ou suisse !) bien huilée.
Selon moi, Black Forest s’impose comme l’un des poids lourds -dans tous les sens du terme, la boîte en impose- de 2024 (oui, je mets des gants, je n’ai pas testé tous les jeux de l’année, mais quand même !). Une belle perf ludique aussi profonde que fluide.
Le jeu se démarque particulièrement par :
Son système de cadrans plus addictif qu’une série coréenne Netflix (si on kiffe les séries coréennes, bien sûr)
Sa rejouabilité qui donne envie de revenir encore et encore et encore et encore et encore et encore
Son thème qui colle aux mécaniques comme du papier peint (allemand)
Son équilibre entre planif et impro
Black Forest n’est pas un jeu qu’on prend à la légère. C’est un mastodonte ludique qui mérite qu’on lui consacre du temps et de l’attention.
Si vous aimez les jeux de gestion qui font chauffer les méninges tout en restant élégants, Black Forest mérite une place de choix dans votre ludothèque. C’est l’évolution naturelle du style Rosenberg, avec suffisamment d’innovations pour se démarquer comme un sapin de Noël dans un champ de pâquerettes.
Une chose est sûre : derrière ce titre sobre se cache l’un des jeux les plus passionnants et intenses de ces derniers mois, voire de ces dernières années. Et comme on dit dans la Forêt-Noire : « Wer nicht wagt, der nicht gewinnt » (qui ne tente rien n’a rien) !
Ce jeu a été joué et recommandé par Jeudice, voici son avis :
Je ne vais pas y aller par quatre chemins, Black Forest est pour ma part un des meilleurs jeux experts de cette année. Décidément, Super Meeple arrive encore une fois à faire mouche. C’est un éditeur qui compte beaucoup pour moi, la preuve : j’ai acquis la quasi-totalité de leurs titres sortis cette année.
Il demandera du temps et de l’investissement comme tous les jeux de cet acabit, mais il en vaut la chandelle. Vous pouvez optimiser au mieux vos ressources et votre stratégie en vous chauffant la cervelle, mais vous pouvez également explorer de nouvelles possibilités en profitant de votre jeu, sans forcément chercher absolument la victoire. Tout dépend de votre profil de joueur. Pour moi, c’est souvent le chemin qui est important, et pas forcément la destination. Je prends autant de plaisir à jouer et à découvrir qu’à gagner.
Un petit coup de chapeau pareillement au deuxième auteur crédité sur le jeu, Tido Lorenz, qui a su remanier et remettre au gout du jour un ancien jeu d’Uwe Rosenberg qui se nommait La route du verre. J’aurais aimé en savoir plus sur cette partie. On sait juste qu’il a participé à la nouvelle mouture de Terres d’Arles ainsi qu’à son extension. Il a par ailleurs travaillé sur une extension de viticulture.
Le génie de Black Forest réside vraiment dans ces deux roues crantées qui permettent la gestion des ressources. C’est diablement efficace et nous retrouverons cette mécanique dans Kanal, un jeu pour deux joueurs, bientôt réédité chez Sylex Edition. Finalement, les seuls petits reproches que je peux avoir sont purement esthétiques, ils me font juste pester un peu, mais ce n’est qu’anecdotique comparé au plaisir immense que me procure le jeu. C’est mécaniquement irréprochable, tout en proposant une thématique qui s’intègre parfaitement bien. J’ose le dire, même si pour certains ce n’est pas le bon terme, c’est un vrai coup de cœur (brusque emballement pour quelque chose ou quelqu’un) que j’ai pour ce titre. J’ai tout le temps envie de faire une partie pour essayer d’autres axes stratégiques, mais j’ai également hâte de le faire découvrir à d’autres joueurs de mon entourage. Une excellente pioche pour cette fin d’année et pourquoi pas un beau cadeau sous le sapin de Noël, pour des joueurs plutôt aguerris.
Pilou.
http://www.jeudice.fr/black-forest/
Ce jeu a été joué et recommandé par Gus & Co, voici son avis :
Black Forest, c’est comme une recette traditionnelle (genre, la… raclette ?) revisitée par un chef étoilé. Tito Lorenz a su apporter sa touche personnelle tout en respectant l’esprit de Glass Road, créant un plat qui satisfera autant les puristes que les aventuriers (du goût). L’univers du jeu devient un terrain de jeu de ouf où chaque décision compte plus qu’un vote serré.
Attention toutefois : ce n’est clairement pas un jeu pour les petits joueurs. En âge et en habitude de jeu. Avec ses 30+ bâtiments et ses options plus nombreuses que les arbres de la Forêt-Noire, la première partie peut donner le vertige. Mais une fois les bases maîtrisées, tout s’emboîte comme une horloge allemande (ou suisse !) bien huilée.
Selon moi, Black Forest s’impose comme l’un des poids lourds -dans tous les sens du terme, la boîte en impose- de 2024 (oui, je mets des gants, je n’ai pas testé tous les jeux de l’année, mais quand même !). Une belle perf ludique aussi profonde que fluide.
Le jeu se démarque particulièrement par :
Son système de cadrans plus addictif qu’une série coréenne Netflix (si on kiffe les séries coréennes, bien sûr)
Sa rejouabilité qui donne envie de revenir encore et encore et encore et encore et encore et encore
Son thème qui colle aux mécaniques comme du papier peint (allemand)
Son équilibre entre planif et impro
Black Forest n’est pas un jeu qu’on prend à la légère. C’est un mastodonte ludique qui mérite qu’on lui consacre du temps et de l’attention.
Si vous aimez les jeux de gestion qui font chauffer les méninges tout en restant élégants, Black Forest mérite une place de choix dans votre ludothèque. C’est l’évolution naturelle du style Rosenberg, avec suffisamment d’innovations pour se démarquer comme un sapin de Noël dans un champ de pâquerettes.
Une chose est sûre : derrière ce titre sobre se cache l’un des jeux les plus passionnants et intenses de ces derniers mois, voire de ces dernières années. Et comme on dit dans la Forêt-Noire : « Wer nicht wagt, der nicht gewinnt » (qui ne tente rien n’a rien) !
Vous devez être identifié pour soumettre des avis.
Copyright © 2024 www.philibertnet.com Mentions légales - Politique de confidentialité - Politique cookies - Plan du site