Chroni Histoire à l’école est un jeu de cartes pédagogiques pour réviser et mémoriser les grandes dates historiques étudiées du CE2 au CM2.
Le baptême de Clovis, avant ou après le sacre de Charlemagne ? D’ailleurs, savez-vous à quelle dynastie appartient Clovis, le premier roi de France ?
De l’apparition des australopithèques ( vers – 4 000 000) à la mise en circulation de l’euro (2002), retrouvez dans ce titre une sélection de 60 événements incontournables étudiés à l’école. Avec les ChroniCards, réviser et mémoriser durablement les dates n’a jamais été aussi simple.
Thème(s)
Histoire
Langue(s)
Français
Note globale
4.5
Éditeur
On the Go Editions
EAN
9782918742395
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Les Blogueurs ont donné une note de 4/5 sur ce produit
4/5
Ce jeu a été joué et recommandé par Plateau Marmots, voici son avis :
4/5
L’avis de Plateau Marmots Si Chroni ne va probablement pas vous tenir en haleine trois heures durant, il est agréable à sortir le temps de deux ou trois parties sur la table à peine débarrassée du dimanche après-midi, ou dans une salle de classe qui s’étiole à quelques heures des vacances de Noël. Pouvant rapidement agglomérer jusqu’à six joueurs, il séduit également par son côté intergénérationnel qui permettra à Papy et aux marmots de 8 ans et plus de briller dans la même partie, ce qui est plus rarement le cas dans une partie de Mémory ou de Zombicide. Efficace et bien réalisé, il permet surtout d’appréhender l’histoire de façon globale et non plus uniquement par le biais de périodes cloisonnées qui n’auraient aucun lien entre elles, ce qui est sans doute le meilleur moyen de se sentir à l’aise dans l’étude de cette matière. Le seul vrai regret que j’ai vis-à-vis de Chroni, finalement, c’est de voir que l’aspect ludique est quelque peu sous-exploité, signe que l’auteur n’a pas voulu risquer de compromettre la clarté de son message, essentiellement scolaire. Je comprends ce choix, mais la qualité du matériel m’incite à penser qu’il était possible d’aller plus loin dans le ludique sans rien perdre de la valeur éducative. Bien au contraire, même. Car si le plaisir de jouer est bel et bien là, on pourrait très clairement le rendre plus attractif encore.