Pour Napoléon, l'artillerie était son arme favorite. Il a reçu une formation célèbre d'artilleur et comprenait parfaitement la science et les effets psychologiques d'un tir de canon bien entretenu. Il a construit un parc d'artillerie d'une taille considérable et disposait sans doute des meilleurs canonniers d'Europe.
L'artillerie n'est bien sûr utile que si elle arrive sur le champ de bataille en bon état et bien approvisionnée en canonniers, en grenaille et en obus. La France a été l'une des premières nations à se doter d'un train d'artillerie professionnel bien organisé, composé d'hommes entièrement dévoués à leur travail difficile et ennuyeux. Techniquement non combattants, ils bravent souvent les tirs et les obus, voire les rencontres rapprochées, pour s'assurer que leurs canons bien-aimés sont bien placés et approvisionnés, ou, en cas de danger, se retirent intelligemment à l'arrière.
Le train d'artillerie avait souvent le choix entre les grands chevaux disponibles et, comme s'il y avait un doute, la Garde impériale a certainement réussi à trouver les meilleurs, les plus forts et les plus intelligents chevaux de l'armée, au grand dam, sans doute, de la cavalerie lourde. Dans la mesure du possible, les chevaux de la garde étaient de couleur noire.
Cette boîte contient un avant-train d'artillerie à quatre chevaux et deux cavaliers de l'artillerie de ligne française, en résine.
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