Thème(s) | Mythologie | |
Langue(s) | Français | |
Mécanisme(s) | Ressources, Asymétrie, Programmation, Gestion | |
Création | Chris Matthew | |
Illustrations | Serena Malyon | |
Note globale | 4.2 | |
Éditeur | Pixie Games | |
EAN | 3701358301203 |
Renard Ludique
Ce jeu est conseillé par 3 de nos Blogueurs
Ce jeu a été joué et recommandé par Gus & Co, voici son avis :
Mais qu’est-ce que c’est que cette mode de jeux demandant une table de 3m de long pour pouvoir jouer convenablement ! C’était déjà le cas récemment dans Wonderland’s War ou Dune War for Arrakis… Avoir du matériel c’est une bonne chose, surtout quand on voit les prix des gros jeux actuels, mais franchement c’est abusé. Rien que le temps de mise en place, avant l’explication des règles aux nouveaux joueurs, prend une plombe !
Côté explication des règles justement : c’est chaotique au possible. Non pas qu’elles soient complexes mais il y a tellement de petites règles à prendre en compte que j’ai l’impression de me retrouver avec un wargame des années 80. Le livret fait ses bonnes 35 pages et demande d’y revenir régulièrement durant la partie pour une foule de détails. Détails importants car avec la salade de points de fin de partie, il vous faudra y regarder de près pour rentabiliser vos actions durant vos tours de jeu. Tout de même notées 3.56/5 sur BGG. Chaque joueur possède une aide de jeu de 4 pages pour « faciliter » sa partie…
Au niveau du tour de jeu, c’est en décalé. Il vous faudra attendre 1, voire 2 tours, pour recharger correctement votre transmutateur. Vous vous contenterez alors de choisir comment et quels types d’énergies positionner en réfléchissant à vos futures actions… en espérant que personne ne vous coupe l’herbe sous le pied entre-temps !
Les tours de jeu sont soit trop courts (on ne fait rien de bien intéressant) soit trop longs (on lâche toute l’énergie disponible pour faire le plus de choses en même temps) et vos adversaires attendent… En même temps ce sera rapidement l’inverse.
Le déplacement de son dieu sur le plateau peut être intéressant lors des passages des ponts mais cela n’apporte pas grand-chose sur la globalité. Et pourquoi des dieux passeraient sur des ponts pour gagner en puissance plutôt que se téléporter ?
La version à 2 reste la plus intéressante pour moi. Dès qu’on dépasse ce stade, le chaos s’installe et les tours deviennent plus aléatoires. Ce qui devrait me plaire normalement mais qui n’est pas le cas ici.
À noter qu’il existe un livret et du matériel spécifique à une version solo. C’est une bonne chose sur le papier mais on reste toujours sur l’impression globale.
Il n’y a tout de même pas que de mauvaises choses dans ce jeu. Le casse-tête de capitaliser un maximum sur un seul tour est intéressant. Ce principe de construction de bâtiments est superbe sur le plateau. Mais c’est léger au possible.
En fait, je n’arrive pas à concevoir à quel type de public ce jeu veut faire de l’œil. Il y a un côté eurogame avec production et gestion de ressources, mais moins intéressant que d’autres propositions sur le marché. Et ne me dites pas que je ne suis pas un joueur de ce type de jeu : j’adore Expédition à Newdale d’Alexander Pfister, donc je suis capable de profiter d’un bon eurogame (et je ne suis pas du tout d’accord avec la note donnée dans l’article cité !!!)
Également un côté course à la montre pour la construction de chaque bâtiment, induisant aussi une accélération potentielle de la fin de partie. Ce qui fait qu’on ne maîtrise pas vraiment le déclenchement du final qui stoppe tout d’un coup. Si en plus on se retrouve sur un ultime tour possible sans avoir d’énergies disponibles… Sale ambiance !
Le matériel est tout juste magnifique et déborde littéralement de la boîte (une fois tout dépunché, la boîte a du mal à fermer), la D.A. est top, mais cela ne fait pas tout. Les règles sont rébarbatives et lourdes malgré de nombreuses illustrations. Le thème est collé sur le système et disparaît dès le début de partie.
Le jeu n’a pas convaincu les eurogamers de mon groupe, ni les autres d’ailleurs. Trop lent, trop long, trop déséquilibré dans sa mise en œuvre. Le seul mot me venant en tête est « foutraque ». J’ai l’impression qu’il y a du potentiel sous tout ce foutoir mais je n’arrive pas à mettre le doigt dessus…
Est-ce que j’ai pris plaisir à la découverte du matériel et des règles : oui pour le premier et non pour le second.
Est-ce que j’ai pris plaisir à jouer : mouais, bof. 4 parties au total, dont 1 solo… et c’est déjà beaucoup trop.
Est-ce que j’aurais envie d’y rejouer dans le futur : non, absolument pas.
Ce jeu a été joué et recommandé par Gus & Co, voici son avis :
Mais qu’est-ce que c’est que cette mode de jeux demandant une table de 3m de long pour pouvoir jouer convenablement ! C’était déjà le cas récemment dans Wonderland’s War ou Dune War for Arrakis… Avoir du matériel c’est une bonne chose, surtout quand on voit les prix des gros jeux actuels, mais franchement c’est abusé. Rien que le temps de mise en place, avant l’explication des règles aux nouveaux joueurs, prend une plombe !
Côté explication des règles justement : c’est chaotique au possible. Non pas qu’elles soient complexes mais il y a tellement de petites règles à prendre en compte que j’ai l’impression de me retrouver avec un wargame des années 80. Le livret fait ses bonnes 35 pages et demande d’y revenir régulièrement durant la partie pour une foule de détails. Détails importants car avec la salade de points de fin de partie, il vous faudra y regarder de près pour rentabiliser vos actions durant vos tours de jeu. Tout de même notées 3.56/5 sur BGG. Chaque joueur possède une aide de jeu de 4 pages pour « faciliter » sa partie…
Au niveau du tour de jeu, c’est en décalé. Il vous faudra attendre 1, voire 2 tours, pour recharger correctement votre transmutateur. Vous vous contenterez alors de choisir comment et quels types d’énergies positionner en réfléchissant à vos futures actions… en espérant que personne ne vous coupe l’herbe sous le pied entre-temps !
Les tours de jeu sont soit trop courts (on ne fait rien de bien intéressant) soit trop longs (on lâche toute l’énergie disponible pour faire le plus de choses en même temps) et vos adversaires attendent… En même temps ce sera rapidement l’inverse.
Le déplacement de son dieu sur le plateau peut être intéressant lors des passages des ponts mais cela n’apporte pas grand-chose sur la globalité. Et pourquoi des dieux passeraient sur des ponts pour gagner en puissance plutôt que se téléporter ?
La version à 2 reste la plus intéressante pour moi. Dès qu’on dépasse ce stade, le chaos s’installe et les tours deviennent plus aléatoires. Ce qui devrait me plaire normalement mais qui n’est pas le cas ici.
À noter qu’il existe un livret et du matériel spécifique à une version solo. C’est une bonne chose sur le papier mais on reste toujours sur l’impression globale.
Il n’y a tout de même pas que de mauvaises choses dans ce jeu. Le casse-tête de capitaliser un maximum sur un seul tour est intéressant. Ce principe de construction de bâtiments est superbe sur le plateau. Mais c’est léger au possible.
En fait, je n’arrive pas à concevoir à quel type de public ce jeu veut faire de l’œil. Il y a un côté eurogame avec production et gestion de ressources, mais moins intéressant que d’autres propositions sur le marché. Et ne me dites pas que je ne suis pas un joueur de ce type de jeu : j’adore Expédition à Newdale d’Alexander Pfister, donc je suis capable de profiter d’un bon eurogame (et je ne suis pas du tout d’accord avec la note donnée dans l’article cité !!!)
Également un côté course à la montre pour la construction de chaque bâtiment, induisant aussi une accélération potentielle de la fin de partie. Ce qui fait qu’on ne maîtrise pas vraiment le déclenchement du final qui stoppe tout d’un coup. Si en plus on se retrouve sur un ultime tour possible sans avoir d’énergies disponibles… Sale ambiance !
Le matériel est tout juste magnifique et déborde littéralement de la boîte (une fois tout dépunché, la boîte a du mal à fermer), la D.A. est top, mais cela ne fait pas tout. Les règles sont rébarbatives et lourdes malgré de nombreuses illustrations. Le thème est collé sur le système et disparaît dès le début de partie.
Le jeu n’a pas convaincu les eurogamers de mon groupe, ni les autres d’ailleurs. Trop lent, trop long, trop déséquilibré dans sa mise en œuvre. Le seul mot me venant en tête est « foutraque ». J’ai l’impression qu’il y a du potentiel sous tout ce foutoir mais je n’arrive pas à mettre le doigt dessus…
Est-ce que j’ai pris plaisir à la découverte du matériel et des règles : oui pour le premier et non pour le second.
Est-ce que j’ai pris plaisir à jouer : mouais, bof. 4 parties au total, dont 1 solo… et c’est déjà beaucoup trop.
Est-ce que j’aurais envie d’y rejouer dans le futur : non, absolument pas.
Ce jeu a été joué et recommandé par ParadoxeTemporel, voici son avis :
An Age Contrived est un eurogame, jeu de gestion, de développement, d’optimisation, d’engine building, et de majorité. Une fois que vous avez fait connaissance avec le matériel la mise en place est rapide, après votre 1ère partie :-). Pour la transmission des règles comptez 15/20 minutes.
Vous incarnez un Dieu (chacun a ses propres pouvoirs), en des temps de sérénité où les mortels s‘allient suite à des siècles de conflits. Votre objectif est de devenir celui qui domine le panthéon eldranique en aidant les mortels à construire des Monuments, en accomplissant des Exploits, en plaçant des ponts, en récupérant des Énergies, et en déplaçant votre Dieu.
Le jeu est fluide, à votre tour vous avez le choix entre un tour de Progression où vous ferez glisser vos tuiles vers la droite sur votre Appareil afin d’en placer une des 2 ou d’un Tour d’Actions où il vous faudra gérer au mieux vos différentes Énergies. Le jeu est stratégique, améliorez votre plateau Joueur petit à petit, optimisez-le au mieux pour profiter pleinement de vos bonus via la Transmutation. Ces différents bonus sont intéressants et permettent de progresser dans le jeu, il en y a pas mal mais lesquels allez-vous prioriser ???? ? Très bon jeu, vraiment plaisant à jouer, qui donne envie de revenir essayer de nouvelles stratégies. Le tout est bien ficelé.
Il est conseillé de jouer avec le module Vents Divins pour votre 1ère partie. En utilisant votre jeton Vents Divins lors de votre tour de Progression vous pourrez réalimenter 2 tuiles supplémentaires lors d’un tour de Progression. Il existe également une variante Expert.
Un superbe matériel, de belles illustrations, beaucoup de couleurs. Chaque section de Monument est aimantée et trouvera sa place autour de la structure métallique correspondante dont la base est placée sous le plateau de jeu lors de la mise en place. Le tout donne un superbe rendu en 3D.
Article complet : https://paradoxetemporel.fr/55557-test-et-avis-dan-age-contrived.html
Ce jeu a été joué et recommandé par Ludoχ, voici son avis :
« Un Age Articiel », un titre plutôt accrocheur, aussi bien en français qu’en anglais avec un visuel qui donne très envie ! Il suffit de feuilleter les règles pour vite comprendre que l’on a bien affaire à un titre expert. Vient donc évidemment la question:
Qu’est-ce qui le rend différent ?
L’expérience m’a beaucoup fait penser à celle que j’ai eu sur Projet Gaïa, Brass ou Anachrony. An Age Contrived est bien un jeu d’optimisation mais l’un des principaux aspects qui le rend différent, selon moi, est sa perspective semi-coopérative autour de la réalisation des monuments qui rend l’expérience plus dynamique. Le thème est immersif et en cohésion avec sa mécanique qui lui donne sens. Et, bien heureusement, les possibilités de scoring ne se limitent pas à la construction des sections et il est possible d’axer sa partie de manière moins conventionelle et ça c’est génial ! D’ailleurs, l’asymétrie des personnages renforce ce dernier point.
Qu’en est-il de mon expérience ?
Commençons par le négatif. Malgré que le matériel soit sublime, je trouve que tout n’est pas simple à identifier et les règles n’y contribuent pas vraiment .. De plus, il peut y avoir un léger déséquilibre pour le dernier joueur qui peut se voir potentiellement sucré certains bonus lors du démarrage mais vu qu’il est possible d’y pallier ou de se diriger vers une autre manière de scorer, c’est moins gênant ! Le jeu parait simple mais la courbe de progression nécessite au moins 2 à 3 parties, ce n’est qu’à ce moment qu’on se rend compte de sa profondeur.
Honnêtement, du « Tuile-Building », de l’optimisation de plateaux et ressources et de la programmation, avec une touche d’asymétrie, comment y résister ? Perso’ moi j’y arrive pas ????, et j’ai adoré !
Pour plus d’info’s sur ce jeu ou d’autres, n’hésitez pas à faire un tour sur ma page Instagram ludox_project:
https://www.instagram.com/ludox_project?igsh=MXRzMG4xemh1MTBvNg%3D%3D&utm_source=qr
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