Aquablue

Aquablue, l'adaptation en jeu de rôle de la célèbre bande-dessinée

Aquablue est bien plus bleue que la Terre, c’est un paradis océanique, dont les quelques archipels abritent le peuple semi-aquatique des Mëumes. Ses richesses naturelles sont fascinantes et ô combien enviées par les corporations humaines. La culture des indigènes est empreinte d’esprits élémentaires, de respect pour les forces naturelles et pour le culte de Uruk-Uru, le dieu de la mer nourricière. Une culture radicalement opposée à la nôtre : au XXIIe Siècle, notre berceau est devenu un globe ténébreux et pollué, serti de mégapoles et d’industries, de spatioports et de déchets qui tournent sans fin dans l’espace.

Les Terriens cherchent sur Aquablue un paradis perdu, une seconde chance, leur colonie idéale pour échapper au désastre écologique qui entraîne la destruction lente et inéluctable de leur civilisation.

Lorsque Wilfrid "Nao" Morgenstern, un enfant naufragé d’un crash spatial, est recueilli par les Mëumes puis vénéré comme un élu divin, il ignore encore qu’il va entraîner sa planète d’adoption dans le conflit majeur de ce siècle. Après la libération de son monde, il fonde une organisation pour la protéger des corporations avides de la Terre : la Fondation.

Aquablue c’est une grande saga d’action et d’aventure, mais c’est aussi une œuvre riche en thématiques fortes, voire ouvertement politiques. Afin de vous aider à adopter le même état d’esprit que l’œuvre lorsque vous jouez, voici une analyse de quelques sujets abordés dans le jeu :​ écologie et chamanisme, paradis perdu, immigration contre hospitalité, colonisation et choc des civilisations, technologie, cicatrices de la guerre...