Tout comme Détective ou Dune : House Secrets, on est dans un jeu d’enquête narratif où nos choix seront décisifs pour la résolution. L’histoire se déroule devant nous mais nous pouvons décider quelle direction elle doit prendre. Dans une certaine mesure bien sûr.
Tout comme Détective ou Dune : House Secrets, la gestion du temps sera primordiale. On fait ou on ne fait pas ? Combien de temps nous reste-t-il et combien de pistes avons-nous encore à disposition ?
Contrairement à Détective ou Dune : House Secrets, pas d’application ici. Tout est sur du bon vieux papier en bois d’arbres et on peut y accéder sans portable, ordi ou connexion.
Contrairement à Détective ou Dune : House Secrets, il y a beaucoup de pistes qui s’ouvrent à nous. Et peu de temps pour tout explorer.
Je donnerai donc volontiers à Mortum une durée de vie plus longue que ce type de jeu habituellement.
Perso, je compte refaire les trois scénarios en empruntant des voies différentes afin de tenter de faire mieux, mais surtout d’en apprendre plus sur la globalité de cette mini campagne.
Dans cette optique, je n’ai pas désiré lire les cartes d’explications finales afin de me laisser plus de ( re ) découverte de l’histoire. Même si les grandes lignes sont forcément mises au jour.
Il y a forcément une dimension linéaire à prendre en compte dans le déroulement de l’histoire. Nous ne l’avons toutefois pas trouvé gênant. Un bon moment partagé sur un total de 8 à 9h environ. Les second et troisième épisodes étant beaucoup plus longs que le premier.
Finalement, je dois le relever, Mortum est un très bon jeu pour les fans de ce type d’incursion ludique.
Le côté dark fantasy ajoute une tonalité sombre qui n’est pas pour me déplaire.
Un petit côté « jeux de rôle » également, saveur Nightprowler pour les vieux rôlistes (comme moi).
Beaucoup de raisons d’en profiter donc !