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Theme(s) | Cyberpunk | |
Language(s) | French | |
Author(s) | Cody Pondsmith, Mike Pondsmith, David Ackerman-Gray | |
Artist | Dixie Cochran, Carol Darnell | |
Overall score | 4.4 | |
Number of pages | 456 | |
Book cover | Hardcover | |
Editor | Arkhane Asylum Publishing | |
EAN | 9782372551298 |
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Ce jeu est conseillé par 1 de nos Bloggers
Ce jeu a été joué et recommandé par GPactu, voici son avis :
Cyberpunk RED est un jeu de rôle de Talsorian Games traduit et édité en Français par Arkhane Asylum Publishing. Il nous entraine dans un monde futuriste plus ou moins dirigé par des megacorporations, une impitoyable jungle urbaine où vous allez devoir survivre. Cyberpunk RED est la quatrième édition (et la troisième édition française, une localisation assurée jusque là par le défunt Oriflam) de cette gamme née en 1988. Voyons ce qu’elle apporte comme nouveautés.
UN GROS LIVRE BIEN REMPLI
Avec ce livre de base, on est face à un gros pavé de 455 pages qui couvre a peu près toutes les règles dont vous avez besoin. La police de texte utilisée est claire, et on y trouve un bon nombre d’illustrations assez chouettes immergeant le lecteur dans ce monde sombre et violent. Ça, c’est pour le positif. Parce que pour le reste, je pense que le maquettiste a le syndrome du tableau Excel. Le livre déborde de tableaux dans tous les sens. Pour ne rien arranger les entêtes de ces tableaux sont de couleur rouge vif. Personnellement je trouve ça moche et surchargé. Ce n’est pas parce que le jeu s’appelle Cyberpunk RED qu’il fallait en mettre partout. Mais bon, après, à chacun ses gouts, n’est-ce pas ?
LE MONDE DE 2043
Jetons d’abord un œil sur l’environnement. En fait, hormis ce qui concerne le Net, le setting est quasiment identique à celui de la version 2020. Et c’est assez étonnant car on nous fournit un nombre incroyable d’informations sur les années 2020-2043. Cette édition n’est pas avare en information mais je trouve qu’à la fin du récit qui nous emmène en 2043, bah en fait …. On n’a pas trop avancé et c’est presque un retour à la case départ.
On est toujours dans un monde dominé par les megacorps et votre vie ne vaut pas chère – on peut d’ailleurs noter quelques incohérences dans l’histoire proposée, mais j’y reviendrai. La course à l’amélioration cybernétique est toujours de mise mais attention à ne pas franchir la limite, un acte qui peut faire de vous une créature sans âme atteint de cyberpsychose et dégommant tout sur votre passage. La différence majeure par rapport aux anciennes éditions repose sur le process utilisé par les Netrunners quand ils parcourent les banques d’information pour pirater un système. En effet le gros problème des éditions précédentes venait du fait que lorsqu’un joueur entrait dans le net, les autres le regardaient faire. Et ça pouvait durer longtemps.
Dans ce monde, la dernière guerre corporatiste a vu survenir le datakrash. En fait, toute l’ancienne infrastructure du net a été corrompue par un virus. Devant l’impossibilité de restaurer le NET, celui -ci a été « débranché ». Il existe donc toujours mais ce n’est plus qu’un vaste champ de ruines infesté de programmes tueurs, prêt à anéantir tout Netrunner en quête de vieilles données, la plupart corrompues. Du coup un nouveau NET local appelé META (non, son créateur n’est pas Mark Zuckerberg) est né. Et ce réseau n’est plus accessible à partir de n’importe quel ordinateur. Il faut absolument se brancher à la source. Les Netrunners ne sont plus des hackers dans leur canapé à boire du coca, mais maintenant ils deviennent des hommes ou des femmes de terrain. On aura compris que ce lore est là pour éviter justement le syndrome de la partie ou tout le monde s’emmerde en regardant le netrunner jouer.
Enfin, la ville emblématique est toujours Night City. Une bombe atomique de poche a fait péter tout downtown. Mais la cité s’en est remise. Seuls restent quelques quartiers encore irradiés.
VIVRE EN 2043
Pour commencer, tous les personnages évoluant dans ce monde pourri doivent obéir à une règle de base : moi d’abord. La survie est une affaire personnelle et la marque de fabrique de cette époque tourmentée. Ceci étant posé, quel personnage joue-t-on ?
Dans Cyberpunk chacun de vos personnage à un rôle, qui correspond à un archétype. Les rôles possibles sont :
– Le rockeur
– Le Solo : des mercenaires à louer comme garde du corps ou toute autre sale besogne.
– Netrunners : les hackers.
– Techies : les spécialistes de la techno, ils vont te réparer une console du Net avec une boite de conserve.
– Medtechs : des toubibs exerçant plus ou moins dans la légalité. Il va te greffer un nouvel œil. J’espère que ta carte de crédit est pleine.
– Médias : les journalistes ou, pour être au gout du jour, les influenceurs.
– Corporatistes : cadres d’une megacorporation.
– Justiciers : qui va du flic au justicier avec un but personnel, en passant par l’agent de sécurité
– Fixers : les dealers, les contrebandiers etc.
– Nomades : les transporteurs, les guerriers de la route …
Pour tout dire ce sont exactement les mêmes archétypes que dans la version 2020. La seule différence c’est l’éclatement du Techies en deux rôles distinct (techies /medtech). Bon c’est bien beau mais comment se définit votre personnage ? En fait, un peu comme beaucoup d’autres jeux de rôle. Vous avez d’un côté les caractéristiques et d’un autre les compétences. De manière classique, une compétence est associée à une caractéristique. Par contre, dans Cyberpunk, on ne lésine pas sur les « carac ». En effet ce n’est pas moins dix caractéristiques qui définissent le personnage !
Les valeurs des caractéristiques citées ci-dessous s’échelonnent généralement de 1 à 8 mais elles peuvent parfois dépasser cette limite.
– Les caractéristiques mentales : intelligence, volonté, prestance, empathie.
– Les caractéristiques de combat : technique, réflexes, chance
– Les caractéristiques physiques : corps, dextérité, mouvement
A cela s’ajoute deux jauges qui sont calculées à partir de certaines caractéristiques citées ci-dessus :
– La santé avec ses points de vie.
– L’humanité représente votre… humanité. Quand vous en avez plus à force d’avoir fait le con avec les implants, vous sombrez dans la cyberpsychose.
UN PERSONNAGE TOUFFU
Cyberpunk RED est un jeu à compétences. On va donc en trouver une palanquée qui vise de couvrir toutes les situations. Grosso modo, il en existe 70, reparties en neuf catégories :
– Les compétences de Combat : les aptitudes pour se battre au corps à corps, à mains nues ou avec une arme de mêlée.
– Les compétences de Contrôle : les compétences requises pour conduire un véhicule ou chevaucher un animal.
– Les compétences de Corps : tout ce qui concerne les travaux physiques, la puissance musculaire brute, l’endurance…
– Les compétences d’Éducation : vos connaissances et l’acquisition d’un savoir scolaire ou universitaire.
– Les compétences de Représentation : savoir jouer la comédie, interpréter un instrument de musique…
– Les compétences Sociales : votre habileté à vous fondre dans un environnement social…
– Les compétences Techniques : les compétences professionnelles acquises par la pratique et l’habileté pour les travaux manuels.
– Les compétences de Tir : la maîtrise nécessaire pour manier une arme à distance, comme un fusil ou un arc.
– Les compétences de Vigilance : l’attention que vous portez à votre environnement, par exemple pour relever des indices.
Une fois cela fait, votre avatar va se voir bénéficier d’une capacité de rôle. Ca va être, par exemple, Charisme irrésistible pour le rockeur, ou Bricoleur pour le techies. Ces capacités vont permettre de d’executer une action que seul votre archétype est autorisé à faire et donc de spécialiser votre avatar.
Comme pour ce qui est de l’édition 2020, vous avez la possibilité de tirer toutes ces données sur un un tas de tables aléatoires qui vont déterminer vos relations, vos possessions, vos amis ennemis etc. Des informations qui fournissent une bonne base pour créer votre background. J’aime bien cette partie concernant la création de personnages. Généralement, cela amène la naissance de personnages hauts en couleurs.
Bon je ne vais pas détailler mais ensuite vous avez votre bon gros catalogue d’armes et d’objets en tout genre pour équiper votre punk. Et un autre tout aussi gros catalogue pour rendre votre punk cyber. De l’implant radar au gros gun greffé dans l’avant-bras, il y en a pour tous les gouts.
UN SYSTÈME CLASSIQUE
Le système de jeu est classique. Pour effectuer un test, vous lancez un D10 auquel vous ajoutez les valeurs de Caractéristique et de Compténces. Le score doit battre un seuil de difficulté. C’est le même système que l’édition précédente. A une différence près : le jet de D10 devient explosif (dans les deux sens).
Le combat a été légèrement simplifié. Il n’y a plus de localisation. Sauf si le joueur décide de viser (il subit alors un malus). Les tables de critiques sont présentes. Il y en a deux : le corps pour les tirs généraux ou la tête. Car oui, si on choisit de viser, on vise la tête. On est comme ça à Night city !
LES NETRUNNERS
Donc en 2043, l’ancien net ayant été abandonné, les hackers vont devoir aller sur le terrain avec leurs petits camarades pour se brancher directement sur les terminaux des systèmes qu’ils veulent pirater. Mais en 2043, il y a le wifi ! On ne se câble donc plus via une prise jack. Non, maintenant place au casque de réalité virtuel !
Un petit détail qui m’a fait marrer : étant donné que comme LINUX, META est basé sur la syntaxe de patches sémantiques, il a du mal à supporter les graphismes. Les énormes interfaces graphiques de l’ancien NET n’ont donc pas pu être transférées. Ah ouaih …. Alors ton casque de réalité augmenté il te montre quoi ? Des gros sprites à la pacman ?
Bon trêve de plaisanterie, revenons à l’essentiel. Pour palier au problème récurrent des anciennes éditions avec des netrunners qui hackent en solitaire, un netrunner a désormais droit à plusieurs activités virtuelles selon son niveau de compétence. 2 étant le minimum, 5 le max. A la fin de son tour, le netrunner rend la main et un autre joueur effectue son tour etc. … Ceci va pouvoir permettre à tout le monde de jouer pendant que l’un des leurs crack le système. Et ça c’est une vraie amélioration du système de jeu.
ET LE RESTE
Ce gros bouquin n’est pas avare de contenu. Vous trouverez énormément de détail sur l’environnement, comment maitriser le jeu, Night city en 2043… Je noterai quand même deux choses: Un manque de plans de Night City. Le peu fourni n’est quand même pas très inspiré, ni inspirant.
La deuxième chose que je noterai concerne l’histoire de 2020 à 2043. On nous explique que les gouvernements se sont éclipsés au profit des grandes corporations. OK. Ces grandes corporations se sont livrés une guerre terrible pendant plusieurs années. Guerre sur terre et sur mer, et même dans l’espace. OK. Ceci jusqu’au jour où une bombe nucléaire dévaste le centre de Night city causant 500.000 morts. OK. Et là, tout d’un coup, on nous explique que le gouvernement des Etats-Unis en a marre, nationalise une des megacorpos et menace l’autre protagoniste… Et paf ! Fin de la guerre ! Diantre ! Il leur en aura fallu du temps pour se réveiller ! Ah oui, mais on ne nous avait pas expliqué que les grands gouvernements étaient supplantés ? Et tout d’un coup, ils arrivent à nationaliser une des corporations la plus puissante de la planète ? Ce n’est pas très grave, hein. Je trouve ça juste un peu étrange.
L’AVIS DE G&P
Si vous possédez une des éditions précédentes, je pense que cette nouvelle version de Cyberpunk ne vaut l’investissement que pour l’amélioration du Netrunning (vous me direz que c’est déjà pas mal). L’univers est quasiment le même et absolument pas surprenant si vous avez joué à la version 2020. Et je trouve cela dommage. Par contre, pour les néophytes, si vous voulez découvrir l’environnement et le monde sombre de cyberpunk, il n’y a pas à hésiter : allez-y ! Ce gros livre vous fournit tout le nécessaire pour jouer.
Pour finir, je pense que, peut-être, le problème de Cyberpunk se trouve que c’est la concurrence posée par d’autres jeux ayant le même thème et peut etre plus accessibles. Je pense à Nanochrome, par exemple.
Ce jeu est conseillé par 1 de nos Philiboyz
Ce jeu a été joué et recommandé par Johan, voici son avis :
En voilà un beau bébé bien dodu et bien portant! Cyberpunk Red annonce un peu la couleur avec ses plus de 450 pages de lecture bien dense, autant dire que le titre ne fait pas dans l'économie et vous saurez absolument tout, dans les moindres détails, sur l'ère du Rouge.
Abordons dans un premier temps les points un peu décevant.
Le premier, et pas des moindre, la mise en page. Si on ne pourra que saluer la volonté des auteurs de vouloir tout regrouper dans un seul et même volume, on sent bien qu'il a fallu faire rentrer beaucoup d'informations dans un format pas tout à fait adapté. Cela se traduit par des gros pavés de texte écrit petit, entrecoupés de nombreux tableaux plus ou moins lisibles.
Si en soit le contenu n'est pas forcément très compliqué à cerner, la forme peut donner quelques suées à l'idée de s'y plonger.
Autre point un peu dommage, qui découle très probablement du point précédent, la rareté des illustrations. Et oui, moi j'aime bien les images et je dois dire que je les ai trouvé un peu chiche pour le coup. Et c'est d'autant plus frustrant que les quelques illustrations qui ponctuent les chapitres sont de toute beauté.
Elles permettent de mieux visualiser la thématique, l'ambiance et l'univers, tout en évoquant des tranches de vie qui peuvent tout à fait inspirer le lecteur.
Enfin dernier point, si le système de jeu n'est pas des plus novateurs, on notera qu'il ne se destine pas forcément à un public débutant. Il s'agit tout de même d'ingérer une grande quantité d'informations, dont certaines font appel à des standards que les rôlistes connaissent généralement, mais qui peuvent être plus longs à intégrer pour les néophytes.
Donc bon, ce n'est pas impossible, mais il faudra s'armer de patience et ne pas hésiter à relire quelques passages avant de bien comprendre tous les tenants et aboutissants de certains points de règles.
En dehors de ça, je dois dire que j'ai été plutôt surpris par la clarté des-dites règles, juste. C'est étonnamment fluide et je n'ai pas souvenir d'avoir buté contre l'un ou l'autre écueil. La progression de la lecture dévoile les informations de façon logique et cohérente et bien que la présentation manque d'aération, l'ensemble n'en est pas pour autant indigeste.
Et au vu de la personnalisation extrêmement poussée pour la création de personnage, c'est pas plus mal! Car oui, vous allez pouvoir customiser à l'excès votre personnage, enfin si vous y mettez le coût (en Eddies ou en santé mentale).
Car le monde de Cyberpunk se joue dans la Rue, avec un R majuscule, oui madame. Et dans la Rue, on se distingue tout autant par la pétoire qu'on a à la ceinture que par ses sapes ou l'exotisme de votre épiderme nano-modifié.
Et l'importance de l'apparence sera très présente dans la création de votre "Edgerunner". Ce sera susceptible de définir ses alliés comme ses ennemis et aussi bien son statut social que ses perspectives d'évolution. Ainsi un Cyberpunk cherchera toujours a améliorer son image et sa "Crédibilité".
Quoi qu'il en soit les options sont légions et on appréciera la diversité des choix proposés, que ce soit dans les rôles comme dans les prothèses ou les compétences.
Concernant le système de jeu, les tests se règlent à coup de d10+caractéristique+bonus de compétence, rien d'excessivement compliqué pour ceux qui ont l'habitude et qui ont suivi un cursus scolaire de base. Et les dégâts sont décidés au d6, augmentant le nombre de dé jeté en fonction de la sévérité de l'attaque. On limite donc la diversité de dés utilisés, ce qui est plutôt cool pour ceux qui ne veulent pas se trimballer avec toute leur collection. Et frustrant pour ceux qui aiment se la péter avec (j'en fais allègrement partie).
Mais les règles ça ne fait pas tout, et si celles de Cyberpunk s'étale sur un gros tiers de l'ouvrage, ce qui est déjà pas mal en soit, les deux autres tiers sont dédiés entièrement et uniquement à détailler l'univers de Cyberpunk et de l'ère du Rouge. Et autant dire que rien n'est oublié, de l'histoire de ce monde dystopique, jusqu'à la situation économique et politique des Etats Désunis d'Amérique, en passant par le quotidien de la Rue.
On nous y présente les personnalités importantes de Night City, qu'elles soient à la tête d'une Corporation ou d'un Gang de Boosters local. On y détaille la vie quotidienne des habitants de cette ville ravagée qu'est Night City, constamment au bord du désespoir et qui refuse pour autant d'abandonner. On y comprend les inégalités, et en quoi elles jouent un rôle majeur sur le visage de la cité.
Enfin on y découvre les évolution de l'humain et ses nouvelles déviances, ses nouveaux divertissements et ses nouvelles psychoses.
Bref, cette partie permet réellement de donner vie au monde de Cyberpunk et avec réussite, la narration empruntant parfois le ton du dialogue, mettant les explications dans la bouche de Trace Santiago, une autre personnalité de Night City, et de son parler moins académique.
Pour résumer, Cyberpunk Red est un très bon ouvrage pour qui veut découvrir l'univers de Mike Pondsmith, mais ce savoir se mérite et il faudra probablement quelques tasses de café avant de pouvoir se lancer!
Ce jeu est conseillé par 3 de nos Clients
Cédric O. le 05/25/24
J'ai maîtrisé des JDR d'heroic-fantasy pendant environ 20 ans et j'ai eu envie de changer de genre. Je me suis souvenu de nos parties de Cyberpunk 2020 lorsque j'étais au collège et ça m'a donné envie de me (re)plonger dans cet univers. Avec la sortie de Cyberpunk 2077, l'intérêt de jouer à Night City s'est accru et c'est donc tout normal que je me sois tourné vers Cyberpunk Red, la dernière itération de la gamme :)
Je retrouve tout le charme de Cyberpunk 2020 avec de sacrées améliorations à tous les niveaux (notamment, je détestais les listes d'armes prenant plusieurs pages dans 2020 et qui sont maintenant regroupées par catégorie avec les même statistiques), le background n'est pas en reste puisque tout ce qui s'est passé de 2020 à 2045 est également détaillé.
Ce gros bouquin contient vraiment tout pour jouer ou créer des scénarios, les règles sont très simples à assimiler et adaptées à l'utilisation de figurines et de décors (j'utilise ceux de Battle Systems pour ma part), tout ce qui background, création des personnages, etc... occupant le reste. Bref, il y a beaucoup de choses à assimiler :) À noter au passage, qu'on est plus proche de Cyberpunk 2077 que de 2020 pour pas mal d'aspects, notamment l'amménagement de Night City puisque se déroulant après la destruction du centre ville en 2023.
Pour l'instant, j'ai fait jouer 4 scénarios faisant partie d'une campagne accès sur les rôles et le passé de mes joueurs et on s'éclate vraiment.
Au moment où j'écris cette critique, l'extension/boîte d'initiation "Edgerunners" est annoncée en anglais (une version française serait envisagée je suppose) qui permet de jouer en 2076 et détaillant tous les changements entre 2045 et 2076, l'année où se déroule l'anome Cyberpunk : Edgerunners :)
Frédéric G. le 08/07/21 Achat vérifié
Julien M. le 08/06/21 Achat vérifié
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